vendredi 13 décembre 2013

De nouveaux courants dans le paysage politique 2014 en France

Pourquoi le droit de vote est-il si peu utilisé ? 
En France,  ce droit de voter a été constamment élargi depuis le dix-huitième siècle : suppression des  conditions de paiement d'impôt, de sexe, de résidence (outre-mer, SDF, détenus, ...), ou de l'exclusion liée à la profession (militaire)
Et pourtant, l'abstention manifeste le désintérêt ou le dégoût des français pour ce droit ; les abstentionnistes laissent le hasard décider pour eux de la chose publique
Faut-il, pour avoir plus de votants, élargir encore ce droit ? Pourquoi pas, mais posons la seule question d'avenir : les projets proposés ont-ils du sens, de la cohérence ?! La vie des responsables politiques est-elle même cohérente donc crédible ?
On assiste à la naissance de courants qui veulent ré-insuffler de la réflexion et de l'humain dans les partis traditionnels et en dehors. Poissons roses, Nouvelle Donne, Nous Citoyens, Label Force Vie, ...
Faut-il les voir comme des dissidents, ou des farfelus ? C'est en tout cas une respiration politique nouvelle, à suivre !
Remettons l'humain au cœur de nos choix et de notre projet de société

1 commentaire:

  1. L'électeur souhaite que le politique devienne ou redevienne quelqu'un de crédible , soit bénévole, propose des directions civiques universelles et non partisanes, tout en respectant le principe de diversité.
    Pourquoi dire "dégout des français pour ce droit" (de voter) ?? cela n'a rien a voir avec la réalité... qui est celle ci: les gens sont dégoûtés de voir que les politiques reflètent en général la division sociale, voire l'accroissent. Ils constatent aussi combien le monde politique leur coute cher, combien les politiques se mettent au dessus des lois, voire la trahissent (Cahuzac , sang contaminé, amiante et tous les autres) . Et sont incapables de les protéger dans leur vie concrète et quotidienne, voire pire, ils font voter des impots supplémentaires, incapacité à réduire le chomage, immigration incontrolée, délocalisations en masse,etc. C'est le politique lui même qui est discrédité, les informations transpirent et la population dispose de plus de possibilités de connaitre les faces cachées de l'univers politicien, raison pour laquelle les gens ne croient effectivement plus aux mots de ceux qui finalement leur coutent très cher car l'un dans l'autre, c'est le politique qui coûte au contribuable, jamais l'inverse!

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