vendredi 29 avril 2016

Désagrégation de la France : décider de vivre au risque de mourir

La chienlit ... Pagaille, désordre, agitation, "ils" ont réussi. 
"Ils", ce sont les extrêmes gauches, des médias qui amplifient tout ce qui fait vendre, les trop nombreux dirigeants mous ou indifférents, les cercles plus ou moins obscurs qui tirent grand profit du chaos, de la mondialisation et de l'atomisation sociale.
Qui paie ? Ce sont les citoyens en situation régulière qui travaillent et paient leurs impôts, artisans, commerçants, agriculteurs, entrepreneurs, salariés ... Exaspérés.
Et ce sont aussi les pauvres, qui paient de leur santé, de leur logement insalubre, de leur exploitation en temps ou dignité, de leur errance. Désespérés.
Curieusement, le discours officiel ne parle plus en ce moment de "la menace du Front national" : il ne sait plus quel nouvel ennemi désigner !
Alors que Jean-Frédéric Poisson va présenter lundi 2 mai son projet présidentiel pour la France, j'appelle tous nos concitoyens à relever la tête et se préparer : nous allons nous battre. Notre ennemi est à l'extérieur (et notre politique étrangère doit s'en occuper), et aussi sur notre sol : notre pays est en péril de mort culturelle, sociale et économique. "Dans l'univers libre, des forces immenses n'ont pas encore donné". Aujourd'hui, est notre dernière chance avant le chaos. Prêts à donner notre vie, notre réputation, nos biens pour notre pays et nos enfants